Index de l’article
- Coordonnées de l’ISOGM
- Une démarche solidaire qui s’inscrit dans la durée
- Un partenariat avec l’association Ostéopathie Solidarité et Développement
- Des soins prodigués à la MAS de Montflourès
- Une sensibilité sociale transmise aux étudiants
- FAQ
L’engagement social de l’ISOGM prend une dimension très concrète grâce à ses actions de terrain, notamment en partenariat avec l’association Ostéopathie Solidarité et Développement de Béziers. Ensemble, ils interviennent régulièrement pour proposer des soins ostéopathiques à des publics spécifiquement fragilisés, comme les personnes en situation de handicap.
C’est le cas de la MAS de Montflourès, où les équipes de l’ISOGM et de l’association se rendent périodiquement pour prodiguer des soins de qualité, dans un cadre sécurisé et bienveillant. Ces soins sont assurés par des étudiants avancés de l’ISOGM, sous la supervision de professionnels expérimentés. L’action a d’ailleurs repris récemment, après une courte pause liée au contexte sanitaire (Covid).
Au-delà du soin, c’est une expérience humaine forte pour les étudiants, qui découvrent la réalité des publics en situation de grande dépendance. Ils y apprennent l’humilité, la présence, l’écoute. Ils renforcent leur capacité d’adaptation, et surtout, ils comprennent que leur métier peut être un véritable vecteur de lien social.
Ces actions sont aussi l’expression de la philosophie de l’ISOGM : former des ostéopathes techniques, bien sûr, mais aussi responsables, à l’écoute des besoins sociétaux, capables de s’engager là où il y a un vrai besoin.
FAQ
En quoi consiste l’action à la MAS de Montflourès ?
Des soins ostéopathiques réguliers dispensés à des personnes en situation de handicap, résidentes de la MAS, par des étudiants encadrés.
Quel est le rôle de l’association Ostéopathie Solidarité et Développement ?
Elle facilite et coordonne les interventions solidaires des ostéopathes sur le territoire biterrois, notamment en lien avec l’ISOGM.
Les étudiants sont-ils préparés à ce type d’intervention ?
Oui, seuls les étudiants en fin de cycle sont mobilisés, et toujours accompagnés de professionnels formés à la supervision clinique.
Pourquoi ce type d’action est-elle importante pour leur formation ?
Parce qu’elle donne du sens, du recul, et une conscience aiguë de la dimension humaine et sociale du métier.